jeudi 7 février 2008

Il n'est jamais trop tard

Avec un temps de retard, « Le Monde » et « Libé » y sont allés de leur hommage posthume à Claude Faraldo. Il n’est jamais trop tard pour bien faire…
Pour Le Monde, Claude Faraldo était « un cinéaste corrosif et anticonformiste ». Le quotidien du soir relève aussi qu’ « il était un des très rares cinéastes de cinéma à venir d’un milieu prolétaire » et évoque « sa veine corrosive, son goût de l’outrance et de la contestation débridée… ». Quant à Libé, évoquant la fin d’un frondeur, Olivier Séguret parle de Claude Faraldo comme d’«un cas à part dans le système cinéma français» et le considère, au regard de son œuvre comme «un pur exemple de cinéaste post 68, auquel aurait pu revenir en France le rôle et l’importance, d’un Marco Ferreri en Italie». Une référence respectable, s’il en est !

Conclusion : Claude Faraldo aurait toute sa place dans le Panthéon grolandais s’il existait !
RD

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