mardi 9 octobre 2007

Revue de presse (Part 3)

Encore quelques articles parus dans la presse.

Un article paru sur le site Imedias.biz le 29 septembre 2007

Groland 3 : on était là !
par Alexandre Mancer


Crédit photo: Anaïs Garnotel-Imedias


Dredi 21, Sadi 22 et Gromanche 23 s’est déroulé le Festival du film Grolandais à Quend. Troisième édition d’un festival qui gagne à être connu.


Beaucoup plus calme que l’an dernier car plus axé Cinéma que Concerts, Quend 3 aura vu une Yolande Moreau totalement allumée lors de la cérémonie d’ouverture et une sélection comportant quelques perles qui font plaisir à voir. Entre le très agréable dernier long métrage de Gregg Araki (Smiley Faces), l’étrange film de Christophe Alévêque (Le Fleuve sans fin) et le déjà connu dégoûtant Taxidermie, les goûts étaient bel et bien dans la nature. En plus de la mythique (qui a dit miteuse) salle de cinéma Le Pax, pas moins de trois cinémas démontables (le confort en option) étaient à dispositions à tous les grolandais locaux. Carton rouge sur l’organisation. Pas pire que d’habitude, certes, mais qui a privé les moins fortunés de séances de cinéma (5 € la séance) et a proposé des films en plein air avec un son plus que douteux.

Viendez voir les films

Achevée sous un moment particulièrement émouvant - Michael Kael a eu l’honneur de nous lire la dernière lettre de Jean Moulin, qui a d’ailleurs été lue à l’équipe grolandaise de Rugby avant de perdre 13 000 à 2 -, la cérémonie de clôture a vu remettre plusieurs prix. Jackie Berroyer (dans le rôle de Yolande Moreau) a récompensé Robin Renucci pour Sempre Vivu et un prix spécial pour J’ai toujours rêvé d’être un gangster.

Crédit photo: Anaïs Garnotel-Imedias



Un petit coup de cœur pour ce prix spécial : le film de Samuel Benchetrit (réalisateur de Janis & John) est un petit bijou qui respire le cinéma, avec des relents de Tarantino pour les dialogues et la narration, des airs de la bande d’Alexandre Astier dans la culture de la loose et des clins d’œil à droite et à gauche. Un excellent film français où le genre et le cinéma d’auteur s’entremêlent parfaitement avec un cinéma populaire, la critique bientôt sur imédias. Quend-Plage les pins retrouve maintenant sa légendaire tranquillité (qui a dit amorphe ?) après avoir passé trois jours sous le drapeau à l’amphore, avec un Président partout lui aussi, mais toujours prêt à lever le doigt et le coude.



Brève parue dans Libération – Instants télé du 6 octobre 07


Le trou grolandais


Impossible de se repeindre tranquillos sans que Jean-Marc Morandini vous balance sur son blog. C’est ce qui est arrivé aux aimables olibrius de Groland, qui tenaient le week-end dernier leur festival de Quend-Plage, petit trou balnéaire de la Somme. La gendarmerie n’a pas apprécié l’événement et évoque, assure Morandini, «une grande beuverie infâme». Et dire qu’on a raté ça.

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